Psychopraticienne* certifiée en Approche centrée sur la personne, j’ai été formée à l’IFRDP (Institut de Formation et de Recherche pour le Développement de la Personne).

Si j’ai choisi cette voie, c’est avant tout parce que cette méthode s’appuie sur le plus grand respect des personnes. En effet, l’un de ses postulats est que la personne seule détient l’autorité pour savoir quel a été son vécu et ce qui est bon pour elle.
« C’est le client lui-même qui sait ce dont il souffre, dans quelle direction il faut chercher, ce que sont les problèmes cruciaux et les expériences qui ont été profondément refoulées. » – Carl Rogers 

Ma pratique est supervisée et j’adhère au code de déontologie de la profession. 
Consulter ici le code de déontologie auquel l’ACP se réfère.

Florence Giovanetti

Je suis également formatrice à l’IFRDP pour les étudiants des cycles longs, où ma démarche est de transmettre de manière approfondie et expériencielle les grands principes de l’Approche.

J’interviens à l’UNAFAM (Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques), en accompagnant des aidants dans le cadre d’un groupe de parole mensuel.

  • Titulaire du CEP (Certificat Européen de Psychothérapie) et membre de l’EAP (European Association for Psychotherapy)
  • Certifiée par la FF2P (Fédération Française de Psychothérapie et de Psychanalyse)
    En savoir plus sur la FF2P
  • Membre adhérent de l’AFP-ACP(Association Française de Psychothérapie en Approche Centrée sur la Personne).

    En savoir plus sur L’AFP-ACP

*Le terme de psychopraticien ne peut en aucun cas être assimilé au titre officiel de « psychologue » ou « psychothérapeute » tels que réglementés par l’article 52 de la toi n° 2004-806 du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique et son décret n° 2010-534 du 20 mai 2010 relatif à l’usage du titre de psychothérapeute. Le psychopraticien n’est donc pas inscrit sur le Registre national des psychothérapeutes, car il revendique dans sa formation avoir lui-même effectué une psychothérapie personnelle, ce qui n’est pas prévu comme obligatoire dans la loi française pour accéder aux titres de psychologue et psychothérapeute.